Well, patently, if we do open this debate today, Madam President, as you are requesting and as the Conference of Presidents is requesting, on the basis of Rule 50, we shall then be opening up a fearsome breach in the principle of the freedom and sovereignty of the national states and the free constitution of democratically elected governments, enabling some other majority in this Parliament, at some future time, to claim the right to interfere in the formation of a government even though it has assumed power on the basis of free, regular, peaceful and democratic elections within a Member State.
Or, il apparaît aujourd’hui évident que si l’on ouvre, Madame la Présidente, le débat que vous nous demandez d’ouvrir, et que la Conférence des présidents nous demande d’ouvrir, sur le fondement de l’article 50, alors on ouvre une brèche redoutable dans le principe de la liberté, de la souveraineté des États, de la constitution libre des gouvernements qui sont issus d’élections démocratiques, alors demain une autre majorité dans ce Parlement pourra s’arroger une immixtion dans la constitution d’un gouvernement résultant cependant d’élections libres, régulières, paisibles et démocratiques à l’intérieur d’un État membre.