The EU still lags behind in the share of researchers in the total labour force: 6 per 100, compared to 9 in the US and 11 in Japan.[5] The knowledge economy needs people with the right mix of skills : transversal competences, e-skills for the digital era, creativity and flexibility and a solid understanding of their chosen field (such as in Science, Technology, Engineering and Maths).
L’UE accuse toujours un retard en ce qui concerne la part des chercheurs dans la population active totale: 6 %, contre 9 % aux États-Unis et 11 % au Japon[5]. L’économie de la connaissance a besoin de personnes possédant la juste combinaison de compétences: compétences transversales, compétences numériques pour l’ère numérique, créativité et adaptabilité ainsi qu’une solide connaissance du domaine choisi (par exemple en sciences, technologie, ingénierie ou mathématiques).