Occasional spikes of activity that necessitated multi-departmental responses, such as the turbot crisis in 1995 and the Swiss Air disaster in 1998, buoyed relations with other government departments, but in general terms, many of the benefits set in motion by the Osbaldeston study simply stopped dead in their tracks.
Les relations avec certains ministères refaisaient parfois surface en raison de pointes sporadiques d'activités nécessitant l'intervention de plusieurs ministères, comme dans le cas de la crise du turbot, en 1995, et de la catastrophe aérienne de la Swiss Air, en 1998. De façon générale cependant, nombre des mesures mises de l'avant par l'étude Osbaldeston se sont tout simplement arrêtées dans leur élan.