Everyone, on all sides of these kinds of questions — there are not really two sides, there are many — can trot out evidence, and statistics, and projections, and statistics, and computer models and human intelligence, and statistics, and direct experiential evidence and scientific certainties and charts and graphs, and, worst of all, statistics, to prove their diagnosis and their prognosis.
Dans tous les camps — car il y en a plus que deux —, les partisans peuvent avancer des preuves, des statistiques, des prévisions, encore des statistiques, des modèles informatiques, ils peuvent invoquer l'intelligence humaine, puis encore des statistiques, des preuves basées sur l'expérience, des certitudes scientifiques, des graphiques, pis encore, des statistiques à l'appui de leurs diagnostics et de leurs pronostics.