Is there value in looking to a more arm's-length approach to some of this kind of work, on the model we've seen in the Netherlands, in Great Britain, in the United States, of creating an arm's-length form of funding that political parties can still be involved in and parliamentarians can still be involved in, but that gets into some of those more challenging things the government has trouble doing?
J'aimerais donc vous demander ceci: aurions-nous intérêt à envisager une approche un peu plus indépendante pour ce genre de travail, une approche calquée sur le modèle que nous avons pu voir aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne ou encore aux États-Unis, une formule de financement indépendant qui permettrait néanmoins l'intervention des partis politiques et des parlementaires, mais qui permettrait aussi d'intervenir dans certains dossiers plus délicats dans lesquels le gouvernement a du mal à agir?