It could be assumed that the right of veto under the Luxembourg Accords should continue to apply, perhaps in the variant proposed by Georges Berthoin, Monnet's right-hand man, whereby the prime minister is obliged to defend a veto at the next summit.
On pourrait se baser sur l’idée selon laquelle le droit de veto octroyé par le compromis de Luxembourg pourrait rester d’application, mais éventuellement selon la variante proposée par M. Georges Berthoin, le bras droit de M. Monnet, selon laquelle le premier ministre est tenu de conserver un droit de veto lors du prochain sommet.