In passing, it is worth noting that even in Dickens’ tales of 150 years ago, in which he enjoyed describing predatory lawyers, there are no instances of a victim receiving virtually nothing.
Il convient, soit dit en passant, de souligner que même dans les contes de Dickens, vieux de 150 ans, dans lesquels il se plaisait à décrire des avocats rapaces, il n’existe aucun exemple de victime ne recevant quasi rien.