The main economic and political levers, including a visa ban against senior Yugoslav officials, will continue to be exercised, not just by Canada but by the European Union, the United States, and most other members of the international community.
Ces sanctions économiques et politiques, y compris un moratoire sur les visas octroyés aux hauts dirigeants yougoslaves, continueront d'être exercées non seulement par le Canada mais par l'Union européenne, les États-Unis et la plupart des autres membres de la communauté internationale.