In 1997, the Department of National Defence was a dysfunctional department reeling from the damage to public trust resulting from the Somalia affair, errant videotapes and a vocal community calling for the continued degradation of the Canadian Forces.
En 1997, le ministère de la Défense nationale était en plein désarroi et avait du mal à se remettre du tort que lui avaient causé, dans la confiance du public, les incidents de la Somalie, des enregistrements vidéos condamnables et l'action d'un groupe bruyant qui voulait que les Forces canadiennes continuent à se dégrader.