The Court found that the automatic suspension of voting rights for shareholdings in excess of 2% in Italian electricity and gas companies, where such holdings are acquired by public companies not quoted on the stock exchange and holding a dominant position in their own domestic markets, breaches the EC Treaty rules on the free movement of capital (Article 56).
La Cour avait estimé que la suspension automatique des droits de vote liés à des participations supérieures à 2 % du capital de sociétés italiennes des secteurs de l'électricité et du gaz, lorsque ces participations étaient acquises par des entreprises publiques non cotées en bourse et jouissant sur leur marché national d'une position dominante, enfreignait les règles du traité CE sur la libre circulation des capitaux (article 56).