The partial opening of the labour market, for example, to construction workers, doormen and waiters, as France has proposed, does not testify to a readiness for the European fundamental freedoms. It is, instead, testimony to the low prestige of these professions, since unemployment among French youth is very high.
L’ouverture partielle du marché du travail, par exemple, aux travailleurs de la construction, aux serveurs et aux concierges, comme l’a proposé la France, ne témoigne pas d’un empressement à respecter les libertés fondamentales européennes, mais plutôt d’un manque de considération envers ces professions, vu le taux de chômage très élevé parmi les jeunes Français.