It is customary to blame the refusal to seek treatment on the military culture which prizes toughness, abhors weakness, and, like the rest of Canadian society, regards mental illness with a mixture of revulsion and fear.
Il est courant d’expliquer que les militaires refusent de demander des soins en raison de la culture militaire qui valorise la force et abhorre la faiblesse et qui, comme le reste de la société canadienne, considère la maladie mentale avec un mélange de répulsion et de crainte.