The European leaders who were in Moscow a few days ago hardly took the trouble to broach that reality, and what meant liberation for the Western Europeans 60 years ago, was another calvary for Eastern Europe, the difference being that the new dictatorships could count on the active support and sympathy of so many Western European politicians, media, intellectuals and many others, some of whom, in fact, appeared to be on the payroll of the Soviet secret services.
Les dirigeants européens présents à Moscou il y a quelques jours n’ont pas pris la peine d’aborder cette réalité. Ce qui a été la libération pour les Européens de l’Ouest il y a 60 ans a été un nouveau calvaire pour l’Europe de l’Est, la différence étant que les nouvelles dictatures pouvaient compter sur le soutien actif et la sympathie de nombreux responsables politiques, de médias, d’intellectuels et de nombreuses autres personnes en Europe occidentale, dont certaines étaient stipendiées en fait par les services secrets soviétiques.