I actually did visit the 32 women in the Burnaby Correctional Centre for Women, and I can attest to both what Victor and Agnes are saying in terms of how people were deprived of pretty basic rights in terms of translation, legal access, letter-writing, phone calls, and so on.
J'ai en fait rendu visite aux 32 femmes du Centre correctionnel pour les femmes de Burnaby, et je peux confirmer les dires de Victor et d'Agnes et le fait que ces personnes sont privées de leurs droits fondamentaux en matière de traduction, d'accès à un avocat, de rédaction de la correspondance, d'appels téléphoniques, etc.