Alas, Mr Radwan, you see all the symptoms, b
ut you cannot bring yourself to name the genetic disease afflicting the euro and provoking the scepticism of the markets, which have devalued it by 20%, indifference on the part of the economic players, who have yet to adopt it, the distrust of the citizens: in the last survey, 41% of Europeans already thought that the euro was a bad thing for them and, admit it, there
were signs of panic among the euro supervisory authorities, 18 months before the planned withdrawal of the national currenci
...[+++]es.
Hélas, Monsieur le Rapporteur, vous voyez bien les symptômes, mais vous ne pouvez pas accepter de reconnaître la maladie génétique dont souffre l'euro et qui provoque effectivement le scepticisme des marchés qui l'ont dévalué de 20 %, l'indifférence des acteurs économiques, qui ne l'ont toujours pas adopté, la méfiance des citoyens : 41 % des Européens, dans le dernier eurobaromètre, pensent déjà que l'euro est plutôt une mauvaise chose pour eux et, avouez-le, un début de panique des autorités de tutelle de l'euro, à 18 mois de la disparition programmée des monnaies nationales.