The European Union treats culture in general and audiovisual media in particular as a commodity, as yet another commercial activity for big business and as a competitive market where the only winners are those who are best equipped to turn the market mechanisms to their advantage, rather than those who have something new or something of a higher quality to offer.
L’Union européenne considère la culture en général, et les moyens audiovisuels en particulier, comme une marchandise, comme un nouveau champ d’action économique du capital, comme un nouveau domaine de concurrence, où domineront non pas ceux qui ont à offrir quelque chose de nouveau, de meilleure qualité, mais ceux qui détiennent les moyens de faire fonctionner à leur profit les mécanismes du marché.