But what I'm having trouble with is why would the industry—I mean, this goes back three years—agree to be put under a supply management system with quotas, to take a market-driven industry that had probably the fewest subsidies of any industry in Canada and put it under a quota system managed by officials in the Department of Foreign Affairs and International Trade who probably didn't understand the industry very well to start with?
Ce qui me paraît bizarre, c'est pourquoi l'industrie—je signale que cela remonte à trois ans—accepte de se soumettre à un système de régulation de l'offre comportant des quotas et de partir d'une industrie axée sur le marché qui est probablement la moins subventionnée au Canada pour lui imposer un système de quotas administré par des fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, qui probablement ne comprennent rien à l'industrie au départ?