As human dignity and in consequence humanity are such fundamental values of the European Union (see both the Nice and the Lisbon Treaty), if these values are constantly violated by Serbia in denying the 1944-45 genocide committed by the Titoist partisans, to which approximately 40 000 Vojvodina Hungarians, 260 0
00 Germans and Jews fell victim under the pretext of their ‘collective guilt’, thus denying rehabilitation to all the victims, why is it that the Commission does not raise this question as a crucial SAA and enlargement
condition under the Copenhagen ...[+++] Criteria in its negotiations and actions with any government in Belgrade?La dignité de l’être humain et en conséquence l’humanité sont des valeurs fondamentales de l’Union européenne (voir le traité de Nice et le traité de Lisbonne). Considérant que la Serbie viole constamment ces valeurs en refusant de reconnaître le génocide perpétré en 1944-1945 par les partisans de Tito, dont ont été victimes environ 40 000 Hongrois, 260 000 Allemands et Juifs de Voïvodine sous le prétexte de leur «culpabilité collective», et donc de réhabiliter toutes
les victimes, pour quelle raison la Commission ne fait-elle pas de cette question une condition décisive de l’accord de stabilisation et d’association
...[+++]et de l’élargissement au titre des critères de Copenhague dans ses négociations et actions avec tous les gouvernements à Belgrade?