Women now constitute 50% of patients, which was not the case at the beginning of the epidemic. They are also affected in an extremely brutal and violent way not only by cruel treatment and other practices that take place in time of war in conflict zones but also by rape, prostitution, trafficking in women and female sexual slavery – all scourges that help facilitate the growth of the epidemic.
Les femmes, aujourd’hui, constituent 50 % des malades, ce qui n’était pas le cas au début de l’épidémie, et elles sont touchées de façon extrêmement brutale et violente par des pratiques et des sévices qui ont lieu en temps de guerre dans les zones de conflits, mais pas seulement: viols, prostitution, trafics de femmes, esclavage sexuel des femmes, autant de fléaux qui contribuent à favoriser l’expansion de l’épidémie.