When I was working with the John Howard Society many years ago, one thing the police victim services used to do, in the province we both worked in, was to routinely send victims for us to deal with—because I was setting up one of the first victim offender programs in that area—because they felt they couldn't deal with them through victim services, particularly in cases of sexual assault and violence against women.
Il y a plusieurs années, quand je travaillais pour la société John Howard, les préposés des services d'aide mis à la disposition des victimes par la police avaient l'habitude, dans les provinces où les deux organismes travaillaient, de nous confier systématiquement des victimes — j'étais en effet en train de mettre sur pied les premiers programmes de rencontre entre victimes et contrevenants dans cette région — parce qu'ils estimaient qu'ils ne pouvaient pas s'en occuper par les services d'aide aux victimes, notamment dans les cas d'agression sexuelle et de violence contre les femmes.