And I would ask myself, Commissioner, whether in these circumstances, with a country which does not wish to have a link with the European Union – because it has rejected incorporation into the Cotonou Agreement for a second time; with a country whose leaders reject Community aid; with a country whose leaders insult and denigrate European Union Heads of Government; with a country which imposes endless restrictions on the presentation of identity cards by the Commission’s diplomatic representative, it is worth, Commissioner, keeping the office in Havana open.
Je me demande, Monsieur le Commissaire, si, dans ces circonstances, face à un pays qui ne veut pas de lien avec l’Union européenne - puisqu’il a rejeté pour la deuxième fois l’incorporation à l’accord de Cotonou -, face à un pays dans lequel les dirigeants refusent l’aide communautaire, face à un pays où les dirigeants insultent et discréditent des chefs d’État ou de gouvernement de l’Union européenne, face à un pays qui impose d’interminables restrictions à la présentation de cartes d’identités de la part du représentant diplomatique de la Commission, il vaut vraiment la peine ou non, Monsieur le Commissaire, de laisser ouvert le bureau de La Havane.