On the other hand, Bill C-36 proposes, first, a new offence that would criminalize communicating in any place for the purpose of purchasing sexual services, and second, a separate offence that would criminalize communicating for the purpose of selling sexual services, but—and I have to emphasize this—only in public places where children could reasonably be expected to be present.
Le projet de loi C-36, en revanche, propose d'abord une nouvelle infraction qui criminaliserait la communication, en tout lieu, en vue d'acheter des services sexuels et, ensuite, une infraction distincte qui criminaliserait la communication en vue de vendre des services sexuels, mais — et je m'empresse de le souligner — seulement dans un lieu public où il est raisonnable de s'attendre à trouver des enfants.