If we take dollars and cents out of the equation, we would already find close to 100% penetration in the charitable sector as low income Canadians, who often cannot afford to give financial contributions, do indeed give their time to charitable organizations.
Si l'on ne tenait pas compte uniquement des dons en espèces, on constaterait que c'est presque toute la population qui contribue au secteur caritatif, puisque les Canadiens à faible revenu, qui n'ont souvent pas les moyens de donner financièrement, offrent de leur temps aux organismes de charité.