However, France notes that, if the calculation proposed by CFF was to be accepted, the negative price would be three times lower than the liquidation value of the assets required by the Gröditzer case-law, which would therefore be more favourable than the cases presented to the Commission by the French authorities.
D’ailleurs, la France note que, si le calcul proposé par CFF devait être retenu, le prix négatif serait trois fois moins élevé que la valeur de liquidation des actifs requise par la jurisprudence Gröditzer, ce qui serait donc plus favorable que les hypothèses présentées à la Commission par les autorités françaises.