Par exemple, dans un essai utilisant un traitement adjuvant à forte dose d’IntronA chez des patients atteints de mélanome, les incidences de la fatigue, de la fièvre, de la myalgie, de la neutropénie/anémie, de l’anorexie, de la nausée et des vomissements,
de la diarrhée, des frissons, des symptômes pseudo-grippaux, de la dépression, de l’alopécie, de l’altération du goût, et des étourdissements ont été supérieures à celles des essais dans l’hépatite C. La sévérité augmentait également avec le traitement à forte dose (Grades 3 et 4 de l’OMS, chez respectivement 66 % et 14 % des patients) par comparaison avec la sévérité faible à modérée
...[+++] habituellement associée à des doses plus faibles.
In een onderzoek waar hoge doses IntronA als ondersteunende behandeling werden toegediend aan patiënten met melanoom was de incidentie van vermoeidheid, pyrexie, myalgie, neutropenie/anemie, anorexie, nausea en braken, diarree, rillingen, griepachtige symptomen, depressie, alopecie, smaakverandering en duizeligheid bijvoorbeeld groter dan in de onderzoeken met hepatitis-C-patiënten. De ernst nam ook toe bij de behandeling met hoge doses (WHO-graad 3 en 4, bij 66 % en 14 % van de patiënten respectievelijk), in vergelijking met de lichte tot matige ernst die gewoonlijk geassocieerd wordt met lagere doses.