En principe, les règles restent les mêmes que dans les deux situations pré
cédentes: une bonne médecine implique, en effet, une coopération du premier et du deuxième échelon. Même si le patient le consulte de sa propre initiative, il est préférable que le spécialiste en in
forme le médecin de famille et fasse part à ce dernier de ses constatations; si le patient s'y oppose de manière formelle, le spécialiste doit respecter cett
e volonté et ne pas prendre contact ...[+++] avec le médecin de famille traitant;