Par contre, si l’on tient compte du
fait que certaines allogreffes d’os ont subi un traitement de sécurisation efficace pour la réduction des prions et que cette considération l’emporte par rapport au risque non documenté d’une maladie neurodégénérative à évolution lente qui, en outre, n’apparaîtra qu’après une très longue période de latence en fonction d’un certain nombre de variables et est
susceptible d’être traitée sur le plan symptomatique, il n’existe actuellement que peu d’arguments pour exclure les donneurs atteints de MP pour
...[+++] la préparation exclusive d’allogreffes d’os sécurisées à l’égard des prions.