Le Conseil national estime que l
a communication des rapports médicaux envoyés par les médecins spécialistes à leurs confrères omnipraticiens doit, en principe, êt
re considérée comme confidentielle; qu'exceptionnellement il peut cependant être utile de communiquer ces rapports aux
patients, mais que dans ce cas, le médecin doit agir avec grande circonspection, en s'inspirant des prescriptio
...[+++]ns des articles 33 et 42 du Code de Déontologie médicale.