Se livr
ant à une réflexion critique à propos du droit disciplinaire médical, le Conseil national soulignait
le 28 février 1998, dans son point de vue sur la réforme de l'Ordre, que le droit disciplinaire des praticiens d'une profession, par excellence humanitaire, devait, dans son exercice, être respectueux de la personne humaine, et que l'impact du système juridique sur la manière de traiter les plaintes, les plaignants et les prévenus n'avait p
as eu une influence positive ...[+++].