En ce qui concerne le traitement anti-agrégant, l’étude ESPS2 et l’étude ESPRIT ont montré que l’association de dipyridamole (à libération prolongée, 400 mg p.j. dans les deux études) et d’acide acétylsalicylique (50 mg p.j. dans l’étude ESPS2, 30 à 325 mg p.j. dans l’étude ESPRIT) était un peu plus efficace que l’acide acétylsalicylique seul en prévention secondaire des accidents vasculaires cérébraux.
Wat de anti-aggregerende behandeling betreft, toonden de ESPS2- en de ESPRIT-studies dat de associatie dipyridamol (met vertraagde vrijstelling, 400 mg p.d. in beide studies) + acetylsalicylzuur (50 mg p.d. in de ESPS2-studie, 30 à 325 mg p.d. in de ESPRIT-studie) iets doeltreffender was dan acetylsalicylzuur in monotherapie, in de secundaire preventie van cerebrovasculaire accidenten.