Il est regrettable de constater que le Ministre de la Santé publique, par l'abrogation partielle de l'article 6 de l'arrêté royal n° 79, enlève aux Conseils provinciaux une de leur
s missions les plus essentielles. Le fait de conseiller les médecins qui, dans des situations bien précises, fo
nt très fréquemment appel à leur Conseil provincial afin de savoir ce qui est déontologiquement recommandable, est une forme de service social des conseils provinciaux, méconnue et cependant très utile, que
...[+++]la modification de l'arrêté royal n° 79 réduit à néant.