Elle a également présidé l’un de ces groupes, dédié à la « biosurveillance », qui est
définie comme suit dans le plan d’action : « La biosurveillance consiste notamment à surveiller les marqueurs biologiques,comme le sang, les cheveux et l'urine, qui sont révéla
teurs d'expositions environnementales, de maladies/troubles ou d'une prédisposition génétique, et à examiner
les liens éventuels existant entre ...[+++] eux. …la biosurveillance complète les données concernant la surveillance de l'environnement, les données toxicologiques et écotoxicologiques et, surtout l'épidémiologie analytique».