A l’occasion de la première conférence des parties du Protocole de Carthagène qui s’est déroulée à Kuala Lumpur (Malaisie) en février 2004, il a été décidé, sur une base provisoire, que sur les documents a
ccompagnant les OGM destinés à l’ usage en confiné ou à la libération volontaire dans l’ environnement, devront figurer les noms communs, scientifiques, commerciaux (s’ils existent) de tous les OGM ainsi qu’un code d’identification international unique permettant de se
référer à un réseau Internet « biosécurité » < BCH (Biosafety Clearing House) belge du protocole de Carthag
...[+++]ène > .