Cependant, toujours selon Kandel, il
serait aujourd’hui nécessaire pour la psychanalyse de s’engager « dans le développement d’une relation plus étroite avec la biologie en général et les neurosciences en particulier » : « Mon argument clé, indique-t-il, est que la biologie du siècle prochain est, en fait, dans une bonne position pour répondre à quelques-unes des questions qui concernent la mémoire et le désir,
et que ces réponses seront toutes d’autant plus riches et plus significatives qu’elles auront été forgées par un effort syner
...[+++]gique de la biologie et de la psychanalyse.