Comme on l’a observé avec d’autres agonistes de la LHRH, des études de carcinogénicité réalisées chez le rat et la souris avec des doses allant respectivement jusqu’à 30 fois et 230 fois la dose utilisée chez l’être humain, ont révélé une augmentation des tumeurs au niveau des tissus hormono-sensibles (testicules, pancréas, glandes mammaires et hypophyse).
Carcinogeniteitsstudies bij ratten aan doseringen tot 30 maal en bij muizen aan doseringen tot 230 maal de humane dosis toonden een toename van tumoren van hormoonresponsieve weefsels (testikels, pancreas, borst- en hypofyseklieren).