Mylotte (2006) énonce comme critique que, sans RX, un grand nombre de patients présenteraient plutôt une infection virale des voies respiratoires inférieures qu’une pneumopathie bactérienne. Loeb répond à ceci que les clichés RX ont une sensibilité limitée pour confirmer la présence d’une pneumonie (70%), contrairement au CT-scan, et que de plus, il n’y a pas de différence entre l’étiologie microbiologique qu’ elle soit avec ou sans infiltrat.
Loeb antwoordt hierop dat RX-foto’s slechts een beperkte sensitiviteit hebben om een pneumonie aan te tonen (70%) in vergelijking met een CT-scan en dat er bovendien geen verschil is in microbiologische etiologie tussen residenten met of zonder een infiltraat.