De
s premiers contacts informels qui avaient eu lieu avec l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux (ONIAM) en France, il semblait en effet que
les montants versés pour les victimes de contamination VIH et ceux prévus pour les victimes de l’hépatite suite à une transfusion sanguine étaient très importants, et que le nombre de nouveau
x dossiers attendus dans le seul cadre de la contamination par l’hépatite doublerait l
...[+++]e nombre de dossiers à traiter par l’ONIAM.