Une analyse du sous-groupe des femmes ostéoporotiques (37% de la population globale présentait une ostéoporose correspondant à la définition cidessus) a montré une différence significative de l’incidence des fractures de la hanche (alendronate 1,0 % vs placebo 2,2 %, soit une réduction de 56 %) et de l’incidence de ≥1 fracture vertébrale (2,9 % vs. 5,8 %, soit une réduction de 50%).
Een analyse van de subgroep van de vrouwen met osteoporose (37% van de totale populatie die osteoporose vertoonde volgens de bovenvermelde definitie) toonde een significant verschil in de incidentie van heupfracturen (alendronaat 1,0% versus placebo 2,2%, een daling met 56%) en van de incidentie van ≥1 wervelfractuur (2,9% versus 5,8%, een daling met 50%).