L’exposant rejoint l’opinion de Mougenot D. qui estime que “le silence des parties ne peut être consid
éré comme un accord tacite que s’il n’est susceptible d’
aucune autre interprétation, contrairement à la jurisprudence habituelle de la Cour de cassa
tion, en matière de renonciation” (Mougenot D., op. cit. supra, J.T. 2010 n° 6 389, pp. 201 et s., n° 39 ; Cass. 17. 11.2008, R.G. n° S.08.0070.N, Cass. 28. 01.2008, R.G. n° S.07.0097.N, Cass. 15. 09.2006, R.G. n° C. 05.0171.N
...[+++] ; Cass. 23. 01.2006, R.G. n° S.05.0088.N; Cass. 17. 11.2005, R.G. n° C. 04.04.77.N; Cass. 25. 04.2005, R.G. n°.L’exposant rejoint l’opinion de Mougenot D. qui estime que “le silence des parties ne peut être consid
éré comme un accord tacite que s’il n’est susceptible d’
aucune autre interprétation, contrairement à la jurisprudence habitue!le de la Cour de cassa
tion, en matière de renonciation” (Mougenot D., op. cit. supra, JT 2010 n° 6389, pp. 201 et s. n° 39 ; Cass. 17. 11.2008, R.G. n° S.08.0070.N, Cass. 28. 01.2008, R.G. n° S.07.0097.N, Cass. 15. 09.2006, R.G. n° C. 05.0171.N ;
...[+++]Cass. 23. 01.2006, R.G. n° S.05.0088.N; Cass. 17. 11.2005, R.G. n° C. 04.04.77.N; Cass.25.04.2005, R.G. n°.