« Près de 40 % des victimes de violences domestiques souffrent de séquelles
suffisamment graves pour nécessiter une thérapie à l'âge adulte: incapacité de faire confiance (ce qui a un effet sur la relation avec le thérapeute),
peur de l'intimité, dépression, tendances suicidaires et autres comportements autodestructeurs, dévalorisation de soi, culpabilité, colère, isolement et marginalisation, toxicomanie et alcool
isme, troubles de l'alimentation et autres ...[+++].
« Approximately 40 per cent of all survivors of domestic violence suffer after-effects serious enough to require therapy in adulthood. After-effects can include inability to trust (which effects the therapeutic relationship), fear of intimacy, depression, suicidal tendencies and other self-destructive behaviours, and low self-esteem, guilt, anger, isolation and alienation from others, drug and alcohol dependency, and eating disorders.