Je voudrais rappeler au Parlement que, lors de la première réunion du comité de conciliation, j’ai pr
oposé d’adopter une attitude de compromis, tout en reconnaissant que, dans la mesu
re où des principes flexibles d’aménagement du temps de travail sont appliqués depuis des années dans la plupart des États membres avec le consentement du travai
lleur, attendre des changements radicaux était totalement injustifié et pourrait conduire a
...[+++]u blocage des négociations.