Or, selon nous, la Turquie n'en est pas un. Le refus de reconnaître Chypre ou d'admettre les navires et avions chypriotes sur le territoire turc, la situation des droits de l'homme, l'adaptation purement cosmétique du tristement célèbre article 301 et la question kurde sont des arguments supplémentaires.
De weigering om Cyprus te erkennen of om Cypriotische schepen en vliegtuigen op het Turkse grondgebied toe te laten, de mensenrechtensituatie, de louter cosmetische aanpassing van het beruchte artikel 301, de Koerdische kwestie, komen daar als extra argumenten bovenop.