La commission a dressé ce constat dans des domaines aussi fondamentaux que la torture, qui n'est pas tout à fait éradiquée, des droits de la femme qui ne sont pas toujours reconnus, des droits syndicaux, la liberté religieuse, et la soumission encore trop souvent présente de l'autorité civile à l'autorité militaire.
De Commissie stelde dit gebrek vast in fundamentele domeinen als foltering, vrouwenrechten, syndicale rechten, godsdienstvrijheid en de vaak te nadrukkelijke ondergeschiktheid van de civiele overheid aan de militaire overheid.