Toutes les parties concernées sont sat
isfaites : la régie communale, parce que son terrain a acquis une plus-value le cas échéant « sociale » dans le cadre d'une politique foncière sociale sans avoir dû fournir elle-même un effort, le promoteur professionnel ou l'entrepreneur
parce qu'il peut développer des terrains sans devoir d'abord les acquérir, et le consommateur
parce qu'il peut occuper rapidement un logement sur un terrain qui, dans bon nombre de cas, a été acquis à un prix abordable, ce certainement dans le cadre de projets de coopération entre les secteurs public
...[+++] et privé.