En outre, le Wallon risquait, à la suite de l'instauration du bilinguisme sur l'ensemble du territoire de la Belgique, d'être privé du droit d'être jugé par « des magistrats de sa race, de sa mentalité, par des magistrats capables de comprendre non seulement ses mots, mais encore son esprit et son cœur ».
Bovendien dreigden de Walen door de invoering van tweetaligheid in heel België beroofd te worden van het recht geoordeeld te worden door « des magistrats de sa race, de sa mentalité, par des magistrats capables de comprendre non seulement ses mots, mais encore son esprit et son cœur ».