Compte tenu de la réponse – ou, plus exactement, de l'absence de réponse – de la Corée du Sud à toutes les tentatives de la Commission pour promouvoir la stabilité et la concurrence loyale sur le m
arché mondial de la construction navale, il est évident que ce pays ne reconsidérera sa position que si l'on recourt à des moyens de dissuasion du genre de ceux que propose la Commission, de manière à parer au risque toujours plus grand de
voir les pratiques sud-coréennes contaminer d'autres secteurs (automobile, électro
...[+++]nique, acier).