Dans la limite de ce plafond, il convient de prévoir une certaine souplesse en
ce qui concerne la contribution de l’Union, qui devrait correspondre à au moins un tiers de
la contribution des États participants, sans toutefois être supérieure à la moitié de cette contribution, afin de garantir la masse critique nécessaire pour répondre à la demande émanant de projets éligibles à un soutien financier, d’obtenir un effet de levier important et d’assurer une intégrati
on plus poussée des programmes ...[+++] nationaux de recherche des États participants.