Mme Kaçar s'inquiète, quant à elle, que l'on se fonde sur le Coran pour prétendre que le cerveau des femmes est sous-développé, ou du moins que les femmes réagissent de façon trop émotionnelle et qu'elles ne peuvent pour ces raisons avoir les mêmes droits que les hommes.
Mevrouw Kaçar vreest dat men zich op de Koran beroept om te stellen dat de hersenen van de vrouw onderontwikkeld zijn, of tenminste dat de vrouwen te emotioneel reageren en ze daardoor niet dezelfde rechten als de mannen kunnen genieten.