Dans une lettre du 13 novembre 2001, le cabinet des Finances m'avait d'abord promis sa collaboration avant de revenir sur sa décision, le 20 mars 2002, prétextant, d'une part, que la définition du « terrain » et du
« terrain à bâtir » utilisée par l'administration f
édérale du cadastre serait différente de celle utilisée par les administrations régionales et locales, et que d'autre part, on porterait atteinte à la protection de la vie priv
ée en recherchant l'identité des propr ...[+++]iétaires de parcelles de terrains à bâtir.