La France et l'Allemagne, suivies d'ailleurs par une large majorité d'États membres, dont la Grande-Bretagne, les pays nordiques, la Chine, le Japon - cette liste n'est pas exhaustive - ont indiqué qu'il n'y aurait de consensus possible au sein des Nations unies que sur l'interdiction du clonage reproductif.
Frankrijk en Duitsland, evenals een meerderheid van de Staten, waaronder Groot-Brittannië, de Scandinavische landen, China en Japan, gaven aan dat er binnen de Verenigde Naties enkel een consensus mogelijk is over het verbod op reproductief klonen.